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La BRVM a clôturé sa séance du jeudi 18 août 2016 en baisse par rapport à la séance précédente.

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La BRVM a clôturé sa séance du jeudi 18 août 2016 en baisse par rapport à la séance précédente.

L’indice BRVM 10 est passé de 244,23 à 242,51 points, soit un repli de 0,70%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a cédé 0,84% à 281,09 points contre 283,48 points précédemment.
1. La valeur des transactions s’est établie à 328,61 millions de FCFA contre 286,93 millions de FCFA le
mercredi dernier.
2. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 7 015,22 milliards de FCFA. Celle du
marché obligataire s’élève à 1 628,78 milliards de FCFA.
3. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 803 912 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est SONATEL SN avec 71,70 millions de FCFA de
transactions.


Jeune Chambre Internationale-Burkina Faso : Le Président mondial Paschal Dike à cœur ouvert avec la presse

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Le Président Mondial de la Jeune Chambre Internationale (JCI), Paschal Dike a rencontré les journalistes le 17 août 2016 autour d’une conférence de presse, au bord de la piscine de Bravia Hôtel à Ouagadougou.

Séjournant au Burkina Faso depuis quelques jours de cela, le Président Mondial de la JCI a mis à profit son séjour pour échanger avec la presse burkinabè. Trois points majeurs ressortent de cette tête à tête avec les hommes de médias.
Il s’agit de la campagne mondiale JCI « Peace is possible ». Cette campagne vise à aider les jeunes africains à sortir des vices sociaux telle l’addiction aux drogues et bien d’autres, explique le Président mondial JCI, Paschal Dike. A travers « Peace is possible » la JCI veut créer les conditions avec la jeunesse pour une paix réelle. Comment cette campagne est -t-elle menée plus concrètement ? Il s’agit de sensibilisation sur les réseaux sociaux et des actions constantes des différentes organisations locales membres de la JCI.
Autre information capitale de cette rencontre médiatique, c’est le plaidoyer pour le soutien de la candidature du Burkina, à travers le Président JCI Burkina Faso du mandat 2016, Oumar Ouédraogo au poste de Vice-Président mondial JCI. Le Président mondial a pour cela rencontré le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré et le Premier Ministre Paul Kaba Thiéba afin d’obtenir leur appui allant dans ce sens. Il s’est dit satisfait de ces audiences en raison de l’engement pris par les autorités burkinabè rencontrées. Il reste convaincu des énormes opportunités pour la JCI et partant le Burkina Faso, si ce poste est occupé par un burkinabè.
Le troisième point d’échanges est un ensemble de conseils et de cri de cœur adressé aux jeunes africains et partant burkinabè. Selon le Président mondial Paschal Dike, la jeunesse est leader d’aujourd’hui et elle doit prendre des responsabilités aujourd’hui. Le leadership n’est pas une question d’âge. Et d’ajouter que les jeunes ne doivent pas attendre d’avoir une certaine position avant d’agir. Et la JCI offre justement ces opportunités. Pour preuve il a confié son histoire personnelle aux journalistes. En effet, lui un ancien élève de famille modeste de village et aujourd’hui à la tête d’une prestigieuse organisation qu’est la jeune chambre internationale. Le Président mondial Paschal Dike, n’a pas manqué durant les échanges d’apprécier les actions et le dynamisme de la JCI Burkina Faso. Il s’est aussi réjoui de la cohésion entre les couches d’âges et l’hospitalité légendaire du pays des Hommes Intègres, le Burkina Faso. Il a invité les jeunes à profiter de l’expérience de leurs ainés.
La JCI mondial, c’est 400 000 communautés au monde avec la même motivation de donner la capacité aux jeunes de créer des changements positifs grâce à de nombreux projets sur l’éduction, la santé et l’emploi.

Balguissa Sawadogo
ecodufaso.com / ecodafrik.com

Encadré : Parcours exhaustive JCI du Président, Paschal Dike

- 1998 : Président exécutif JCI universitaire
- 1999 : Responsable JCI universitaire de 13 universités
- 2001 : Responsable JCI universitaire de 53 universités
- 2004 : Président exécutif local
- 2005 : Vice-président National
- 2006 : Vice-président exécutif en charge de la région Sud-Est
- 2014 : Assistant du Président mondial
- 2015 : Conseiller Juridique Mondial JCI (1ère fois qu’un africain occupe ce poste)
- 2016 : Président Mondial JCI

Coris Bank International : Le PDG Idrissa Nassa et son équipe plantent utile au CHR de Kaya

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Le dimanche 14 août 2016, l’équipe managériale de Coris Bank International et de ses filiales ont à l’occasion des Coris Days 2016, tenu un cross populaire dans la ville de Kaya et le reboisement au CHR de ladite ville.

reboisementLes Coris Days 2016 de la Banque Autrement a battu son plein les 12, 13 et 14 août 2016 à Kaya. Il est cadre par excellence de concertation de l’équipe dirigeante et de communion avec la population. Ils constituent trois jours de d’activités marathon. Pour respecter à la tradition, le cross populaire et le reboisement sont deux activités majeures marquant la fin des Coris Days .

 

Balguissa Sawadogo
ecodufaso.com / ecodafrik.com

Quelle contribution de l’AMBF à la réussite du PNDES ?

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Le 6e congrès statutaire de l’Association des municipalités du Burkina Faso (AMBF) se déroule du 19 au 20 août 2016 à Ouagadougou. Après quelques mois de léthargie suite à la transition, l’association veut se définir de nouvelles orientations afin de contribuer au développement socio-économique du Burkina Faso. C’est donc pour cette raison que cette session se tient sous le thème : « Rôle et place des communes dans la mise en œuvre du Plan national de développement économique et social (PNDES) ».

Le maire central Armand Roland Pierre Béouindé est le président du comité d’organisation de ce 6è congrès. Pour lui, les exécutifs communaux doivent être des chevilles ouvrières du développement d’autant plus que les attentes des populations sont pressantes dans ce contexte post- insurrection et post-transition. « Nous nous devons, soutient-il, d’apporter des solutions innovantes à la hauteur de l’espérance suscitée ». Pour lui, conformément au programme présidentiel, des actions urgentes doivent être ménees dans les domaines de la justice sociale et de la sécurité, de l’accès aux emplois et aux services sociaux de base, de la sécurité alimentaire de l’accès aux infrastructures de soutien à la production.

Les collectivités territoriales qui sont prises en compte dans Plan national de développement économique et social (PNDES) se doivent également de s’impliquer pour sa réussite. En ce sens, deux jours durant, les maires auront droit à des communications sur le PNDES, des échanges avec des partenaires des communes. Ils examineront le rapport moral et financier de l’AMBF, reliront les statuts et règlements intérieurs avant de procéder à l’élection d’un nouveau bureau. L’AMBF a été créée le 02 décembre 1995 pour participer à la création et au renforcement d’une véritable administration communale et à la l’approfondissement de la démocratie locale. Instance suprême de la structure, le congrès se réunit deux fois par mandature pour élire le bureau et dresser le bilan à mi parcours.

 

Aimé Florentin BATIONO
ecodufaso.com / ecodafrik.com

TICAD : L’Afrique et le Japon s’unissent pour le développement

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La sixième édition de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement africain (TICAD VI)  se tiendra les 27 et 28 août 2016 à Nairobi, au Kenya. C’est la première fois qu’un pays africain accueille cette rencontre qui devrait réunir plus de 6.000 participants en provenance d’Afrique, du Japon et de diverses organisations internationales. Le Burkina Faso sera représenté au plus haut niveau par le Président Roch Kaboré.

Le terme TICAD désigne des rencontres au sommet lancées par le Japon en 1993 et dédiées à la question du développement du continent africain. Cette initiative japonaise, co-organisée par les Nations Unies, la Banque mondiale et la Commission de l’Union africaine (CUA), réunit des dirigeants africains ainsi que les représentants des organismes internationaux, des pays donateurs et des organisations de la société civile. Organisée une fois tous les cinq ans au Japon jusqu’à sa 5ème édition, la TICAD est devenue depuis 2016 une rencontre triennale et se tiendra alternativement dans un pays africain et au Japon. Selon le directeur général, département Afrique de l’agence japonaise de coopération internationale, Hideo Eguchi, vingt ans après l’organisation de la TICAD 1 qui a eu lieu en 1993, l’Afrique a enregistré une croissance annuelle de 5% voire plus et ses potentialités suscitent de plus en plus l’intérêt des pays développés et des pays émergents. La TICAD VI se penchera sur la transformation économique structurelle, par la diversification économique et l’industrialisation, la promotion de systèmes de santé résilients, la promotion de la paix et de la stabilité en Afrique. Pour l’économie, l’option est de miser sur une accélération de la croissance en mettant l’accent sur l’agriculture, les mines, l’économie bleue, la manufacture et le tourisme.

 

Par ailleurs, un secteur à consolider est celui de l’éducation et de la formation professionnelle. L’investissement dans les infrastructures de qualité devra également assurer la création d’emplois et le transfert d’expertise et de savoir-faire ainsi que le renforcement des capacités des Africains. Le renforcement des systèmes de santé devrait permettre se concrétiser par l’amélioration de la couverture sanitaire et la lutte plus pointue contre les divers problèmes de santé tels que l’Ebola, le Vih/Sida, la tuberculose, le paludisme et les maladies non-transmissibles. Outre l’importance accordée au commerce, à l’investissement et à la coopération technique, des  initiatives de partenariat avec  l’Afrique comme celui de TICAD mettent l’accent de plus en plus sur les questions de paix, de sécurité, et plus particulièrement sur le maintien de la paix ou encore la lutte contre le terrorisme et le crime organisé. Par exemple, dans le cadre des travaux de TICAD-V, le Japon s’est engagé à financer, à hauteur de 26 millions de dollars, les efforts de consolidation de la paix et de la stabilité dans le Sahel. En outre, toujours lors de TICAD-V à Yokohama en 2013 et conformément aux principes directeurs du partenariat international., le Gouvernement japonais a décidé d’engager 32 milliards de dollars sur les cinq prochaines années afin d’améliorer les infrastructures et renforcer les capacités en ressources humaines.

 

Aimé Florentin BATIONO

 ecodufaso.com / ecodafrik.com

 

 

Une soixantaine de jeunes formée au leadership et entrepreneuriat

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Le Cabinet de coaching Africa New Leader Group (ANLG) a organisé, les 13 et 14 août 2016 à Ouagadougou, la 2e édition de «Camp vacances en développement personnel, et leadership et entrepreneuriat» Ouagadoug, sis à Tanghin, au profit des particuliers et des jeunes en quête d’emploi.

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Les rideaux sont tombés sur la 2e édition de «camp vacances en développement personnel, leadership et entrepreneuriat», le dimanche 14 août dernier. Durant 48 heures, les participants venus de milieux divers ont été dotés de connaissances sur l’accomplissement de soi, l’esprit de leadership, d’entrepreneuriat et des techniques de recherche d’emploi. De l’avis du co-parrain de ce camp, Dr Poussi Sawadogo, le développement personnel, le leadership et l’entrepreneuriat ne sont pas intégrés dans le système éducatif formel du Burkina Faso. Pour lui, cela constitue une insuffisance notable dans la formation des hommes et des dirigeants de demain que représente la jeunesse. Or, selon lui, ces notions sont importantes et indispensables pour se construire et au-delà, impacter positivement son environnement social et professionnel. « Face aux nouveaux défis de notre monde, il est impérieux que la jeunesse soit, au-delà des savoirs scolaires et universitaires, suffisamment outillée en termes de connaissances qui construisent son être intégral et le préparent à être un acteur de développement performant », a-t-il estimé. A écouter les bénéficiaires, la formation a été riche en enseignements sur les lois du développement personnel et de la réussite sociale..

 

«J’avais déjà reçu une formation au leadership à l’école biblique. Mais, en venant à ce camp, cela m’a permis d’approfondir d’avantage mes connaissances au leadership », a soutenu le pasteur Alassane Ouédraogo, l’un des participants. Guide spirituel, responsable d’une association et directeur d’un établissement scolaire, cette formation sur l’éveil du potentiel humain, a-t-il ajouté, lui permettra de parfaire son ministère pastoral et d’améliorer la gestion des ressources humaines, financières des structures dont il a la responsabilité. Même son de cloche chez Bintou Afsatou Ouédraogo, professeur vacataire d’Anglais : «je pense que ces thématiques sont la base, de la vie de toute personne. Car, si nous avons un vrai développement et un esprit de leadership, nous réussissons mieux notre vie». Et de conclure : «Je suis motivée à me battre pour atteindre mes objectifs». Dans le même ordre d’idées, Lla coordonnatrice de la 2e édition de «Camp vacances en développement personnel, leadership et entrepreneuriat», Franckine Nadembèga a affirmé que les bénéficiaires pourront accroître, désormais, leur confiance en soi et développer une vision positive de l’avenir. A l’issue de la formation, les participants ont reçu chacun une attestation.

 

Wamini Micheline OUEDRAOGO / sidwaya.bf

El Hadj Adama Ouédraogo et Apollinaire Compaoré convoitent la présidence de la CCI/BF

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La course pour la présidence de la Chambre de commerce et de l’industrie du Burkina Faso (CCI/BF) bat son plein. Mais si depuis il n’y a eu d’annonce officielle de candidature, c’est maintenant chose faite pour certains prétendants à la tête de cette haute institution du commerce et du secteur privé au Burkina.

« Bonjour à tous. Juste pour vous informer que je suis candidat à la Présidence de la CCI-BF. J’ai besoin de vos soutiens et surtout de vos voies pour réussir. Pour cela, je voudrais vous inviter à vous inscrire massivement sur les listes électorales avant le 24 août 2016. Merci de votre soutien »

C’est ce message que le Président directeur général des chaînes hôtelières Palm Beach, EL Hadji Adama Ouédraogo a annoncé sa candidature le 16 août 2016 sur sa page Facebook.  Eh Hadj Adama Ouédraogo est un self made du milieu des affaires et du commerce au Burkina Faso depuis 1970. Il a à son actif l’hôtel palm Beach situé sur Kwamé Nkrumah et Royal Beach Hôtel majestueusement édifié du côté de l’échangeur de l’Est à Ouagadougou.

La deuxième candidature nous l’apprenions par voie médiatique est celle du magnat des télécommunications, le P-DG de Planor Afrique Apollinaire T. Compaoré. L’homme s’est confié à notre source en ces termes « Je suis dans le commerce depuis 1978 et à la Chambre de commerce depuis 1986. Cela fait 30ans. J’estime que j’ai quand même eu beaucoup de formation et de savoir-faire et je préfère les mettre au service des jeunes et des femmes » a-t-il déclaré. Pour l’homme d’affaires, c’est le moment pour les opérateurs économiques, commerçants et entrepreneurs de s’organiser pour trouver des solutions capables de booster l’économie du pays.

Il faut noter que  c’est le 1 août 2016 dans la salle de conférence de la CCI-BF à Ouagadougou que le ministre du Commerce de l’Industrie et de l’Artisanat, Stéphane Wenceslas Sanou avait procédé au lancement du processus électoral en vue du renouvellement des instances de l’institution. Du reste, quatre cent (400) millions seront mobilisés pour le processus du vote. Le processus électoral se déroulera sur une période de 4 mois environ. Elle s’achèvera si l’on s’en tient au chronogramme le 28 novembre 2016 par l’installation officielle des nouveaux membres de la nouvelle assemblée consulaire suivie de l’élection du nouveau bureau consulaire.

 

Balguissa Sawadogo

ecodufaso.com / ecodafrik.com

La BRVM a clôturé sa séance du vendredi 19 août 2016 en hausse par rapport à la séance précédente.

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La BRVM a clôturé sa séance du vendredi 19 août 2016 en hausse par rapport à la séance précédente.
L’indice BRVM 10 est passé de 242,51 à 243,31 points, soit une progression de 0,33%. L’indice BRVM
Composite, pour sa part, a gagné 0,83% à 283,42 points contre 281,09 points précédemment.
1. La valeur des transactions s’est établie à 363,96 millions de FCFA contre 328,61 millions de FCFA le
jeudi dernier.
2. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 7 073,54 milliards de FCFA. Celle du
marché obligataire s’élève à 1 628,78 milliards de FCFA.
3. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 1 558 655 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est BOA MALI avec 60,44 millions de FCFA de
transactions.


Z-cosmétique: Zoromé Mohamed , la force de la persévérance

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Après avoir sillonné plusieurs horizons à la recherche de conditions meilleures, c’est finalement au Burkina-Faso que le désormais patron de Z-cosmétique a décidé de s’établir. Avec un certain succès.
L’entreprise Z-cosmétique fourmille d’activités à l’heure où nous franchissons la porte pour nous entretenir avec son patron. Mohamed Zoromé est un self made man à qui le destin n’aura pas toujours souri. Après des études de franco-arabe dans une medersa à Bobo-Dioulasso, interrompues en 2003, il se lança dans le commerce de mercerie entre le Nigéria et le Cote d’Ivoire. Et le moins que l’on puisse dire est que ce ne fut pas une réussite. Au bout de quelques années, c’est la ruine qui va pointer son nez. Exit donc le commerce d’articles de couture. Notre entrepreneur va se lancer dans l’apprentissage de la fabrication de savons. Deux mois d’apprentissage et l’ardent désir d’entreprendre en plus auront suffi pour qu’il décide de regagner le pays natal avec un capital initial de 100 000F CFA qu’un ainé a bien voulu mettre à sa disposition. Résultat, c’est l’entreprise Z-cosmétique qui voit le jour. Elle fabrique toute une gamme variée de savons et emploie directement désormais trente-quatre(34) personnes, sans oublier les multiples associations de femmes qui l’approvisionne en beurre de karité. Aujourd’hui, Z-cosmétique écoule du savon dans toutes les régions du pays et même dans certains pays de la sous- région comme le Mali.

Bémol

 

savonTout n’est pas rose pour autant. Malgré ces résultats, les banques ne délient les cordons de la bourse qu’avec une certaine parcimonie. Ce qui freine l’expansion de l’entreprise et par ricochet, le nombre de personne à embaucher. Sans oublier le beurre de karité qui est souvent hors de prix. Du coup, il est souvent obligé de mettre ses employés au chômage technique avec assure-t-il « un pincement au cœur ».Ce qui ne l’empêche pas de voir plus grand. Il aimerait diversifier la gamme de savons mais aussi la quantité produite. Il dit d’ailleurs être en contact avec une banque de la place en ce sens.

La parabole de la pierre qui roule…

« Il y a des opportunités au Burkina mais pour cela, il faut que les jeunes prennent leur destin en main ». Ailleurs n’est pas forcément mieux qu’ici. D’autant que lui-même y a connu de nombreux déboires. Comme le dit le proverbe « pierre qui roule n’amasse pas mousse ». «Mais, il ne serait pas de trop qu’ils soient soutenus». Un clin d’œil aux banques…De la part de celui qui a fait l’aventure avant de rentrer au bercail, c’est sans conteste un conseil avisé.

 

Soumana LOURA / burkinaonline.com

Paiement instantané : réponse des banques à l’uberisation ?

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Le numérique ne bouleverse pas que les business models. Pour le prendre en compte, les règles et les lois sont elles aussi en pleine mutation. Chaque semaine, les avocats se relaient pour nous fournir des clés pour déchiffrer les évolutions juridiques et judiciaires nées de la digitalisation : informatique, cybersécurité, protection des données, respect de la vie privée… Aujourd’hui, regard sur le paiement instantané.

« L’UBÉRISATION » DU SECTEUR FINANCIER

De nombreux pans de l’économie ont subi de plein fouet la révolution de l’Internet, obligeant les acteurs traditionnels à revoir leur stratégie pour contrer l’ubérisation auxquels ils sont confrontés.

Aucun domaine n’échappe à ce mouvement de fond. Ainsi en est-il du secteur financier. En s’appuyant sur les technologies mobiles (NFC par exemple) mais aussi sur la blockchain, les Fintech mais aussi les GAFA, dont une des manifestations les plus médiatiques est l’Apple Pay tentent de remplacer progressivement les intermédiaires traditionnels du secteur que sont les établissements bancaires dans le cadre de la relation client.

Face à cet environnement de plus en plus compétitif, les acteurs en place doivent privilégier un time to market quasi instantané à même de satisfaire les intérêts des consommateurs et des professionnels européens de plus en plus exigeants. Le paiement instantané constitue une réponse adaptée du secteur, déjà déployée au Danemark ou au Royaume Uni.

LE PAIEMENT INSTANTANÉ : KÉZAKO ?

Le paiement instantané n’a pas vocation à remplacer le virement ou le prélèvement déjà réglementés dans le cadre de la Directive sur les Services de Paiement mais d’être le substitut le plus proche de l’espèce (Cash) notamment pour ce qui concernent la rapidité et le dénouement de la transaction.

Il se définit au sens de l’Euro Retail Payments Board comme une solution de paiement électronique disponible à tout moment, résultant d’une compensation interbancaire immédiate ou quasi immédiate de l’opération et du crédit du compte du bénéficiaire avec une demande de confirmation au payeur.

Dans le cadre du paiement instantané, le transfert d’argent est immédiat, sans attendre qu’un jour ouvré a minima ne soit écoulé, et disponible 24h/24, 7j/7, 365 jours/an (ou 24/7/365).

UNE PRATIQUE À HARMONISER À L’ÉCHELLE EUROPÉENNE POUR NOVEMBRE 2017
Ainsi, des Etats européens font déjà de l’ « Instant Payment » et l’European Payment Council (EPC – en charge des règles techniques pour les moyens de paiement paneuropéens) a pour mission d’harmoniser et d’intégrer les pratiques de l’ « Instant Payment » pour éviter des ruptures de concurrence à l’échelle européenne.

D’avril 2016 à juillet 2016, un appel à contributions publiques a été lancé par l’EPC afin de recueillir les opinions et avis sur son projet de SCT Instant Rulebook (un cahier de Règles techniques) pour la mise en œuvre d’un système de paiement instantané paneuropéen. L’objectif de ce SCT Instant Rulebook est de déterminer les règles permettant de mettre à disposition du bénéficiaire de la somme transférée dans les 10 secondes à compter de la transaction (pour des transactions inférieures à 15.000 euros). L’EPC entend publier son Rulebook en novembre 2016 pour un déploiement en novembre 2017.

ET LE DROIT DANS TOUT ÇA ?

Outre les questions relatives à l’interopérabilité des systèmes d’information des établissements bancaires, les banques devront étudier d’autres risques, plus juridiques : qui dit utilisation à tout moment via mobile ou Internet dit également multiplication des fraudes immédiates. Comment protéger le client consommateur mais aussi professionnel face à ce risque accru ?

Toute clause visant à limiter la responsabilité des établissements bancaires en la matière pourrait être considérée comme abusive (B2C) ou créant un déséquilibre significatif (B2B) dans le contexte du nouveau Code civil.

En outre, le SCT Instant Rulebook devra prendre en compte les règles de protection du consommateur à l’échelle européenne.
La lecture du prochain Rulebook risque d’être particulièrement enrichissante pour les chefs de projets mais aussi les juristes en charge de réguler ce « nouveau » moyen de paiement.

 ECODAFRIK.COM

ABSM : MISSION COMMERCIALE AFRIQUE DE L’OUEST

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L’Ambassade du Canada organise en collaboration avec la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso (CCI-BF), la Chambre des Mines du Burkina (CMB) et l’Alliance des Fournisseurs Burkinabé de Bien services Miniers (ABSM), une mission commerciales au Canada du 13 au 19 octobre 2016 (CIM/MEMO 2016).
Cette mission connaîtra la participation d’entreprises de la Côte d’Ivoire, du Sénégal et du Burkina Faso; et se déroulera en deux étapes :
♠ Montréal du 13 au 14 octobre 2016 et
♠ Sudbury du 16 au 19 octobre 2016.

Peuvent participer à cette mission:
♠ les fournisseurs de biens et services généraux: équipements de protection individuelle, outils et matériels industriels, machineries, construction métallique, service de cathering, génie civil,

transport, télécommunication et formation/Énergie,
♠ Les fournisseurs de biens et services spécifiques: services géophysique et géoscience, services de forage ;
♠ Les laboratoires d’analyses minières ;
♠ Les services d’ingénierie.

Les entreprises qui souhaitent participer à cette mission sont priées de remplir la fiche de participation jointe et de nous la retourner à absmburkina@gmail.com avant le 2 septembre 2016, date limite d’inscription.

Les frais d’inscription (auprès de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso) sont de 50 000 FCFA non remboursables.

Pour toute information complémentaire merci de contacter la CCI-BF à l’adresse au:+226 25 30 61 14/+226 25 30 61 15

absmburkina.org

La BRVM a clôturé sa séance du lundi 22 août 2016 en hausse par rapport à la séance du 19 aout

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La BRVM a clôturé sa séance du lundi 22 août 2016 en hausse par rapport à la séance précédente. L’indice
BRVM 10 est passé de 243,31 à 244,62 points, soit une
progression de 0,54%. L’indice BRVM Composite,
pour sa part, a gagné 0,22% à 284,03 points contre 283,42 points précédemment.
1.
La valeur des transactions s’est établie à 460,69
millions de FCFA contre 363,96 millions de FCFA le
vendredi 19 aout dernier.
2.
La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 7 088,59 milliards de FCFA. Celle du
marché obligataire s’élève à 1 628,45 milliards de FCFA.
3.
Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 83 344 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est SGB CI avec 183,56 millions de FCFA de transactions

Hadj 2016 : Les 5500 pèlerins devront payer 2,2 millions de FCFA chacun

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5500. C’est le nombre de pèlerins burkinabè qui devraient effectuer le pèlerinage à la Mecque cette année. Les départs s’effectueront du 31 août au 05 septembre 2016 à travers 11 vols. Le 20 août dernier, le comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque a animé une conférence de presse pour fournir plus d’explications sur le Hadj 2016.

Le premier contingent à prendre son envol le 31 août prochain sera constitué de 500 pèlerins. Il s’agit de ceux qui n’ont pu effectuer ce pilier de l’islam l’année dernière en raison du coup d’Etat de septembre. Pour que le pèlerinage se passe dans de bonnes conditions, le comité a entrepris plusieurs démarches. Au nombre de celles-ci, il faut souligner la signature de convention entre le gouvernement burkinabè et les autorités saoudiennes qui fixe le quota de pèlerins burkinabè à 5500, la constitution de l’équipe médicale, la signature des contrats de logements à Médine et à la Mecque, etc. Actuellement, le comité s’attelle à la vérification des versements, à la finalisation des listes des pèlerins, à la réception des passeports des pèlerins à jour de leurs paiements,… Les visas seront disponibles à partir du 22 août 2016.

Selon le président du comité Cheick Oumar Boni, quelques difficultés ont émaillé les préparatifs ; occasionnant ainsi des retards dans l’organisation. A ce titre, l’audit qui était prévu se faire en un mois, s’est finalement étendu sur 05 mois. Le comité a également rencontré des difficultés pour trouver un transporteur national. Aucune structure n’ayant soumissionné, c’est finalement un transporteur saoudien (Nas Air) qui se chargera du transport des pèlerins burkinabè en collaboration avec une trentaine d’agences de voyage sélectionnées. Malgré ces difficultés qui ont jalonné le parcours, le comité s’active afin que les pèlerins burkinabè puissent effectuer le Hadj dans de bonnes conditions. Pour se rendre à la Mecque, chaque pèlerin devra débourser deux millions deux cent un mille soixante-dix (2 201 070) Francs CFA. Ce coût de 2 201 070 Francs CFA n’inclut pas le prix du mouton qui sera payé sur place en Arabie Saoudite par le pèlerin lui-même.

 

Aimé Florentin BATIONO
ecodufaso.com / ecodafrik.com

BF-Qualité-normalisation-certification:« La qualité garantie la survie de l’entreprise» dixit Abdoul Azize Bamogo

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Qu’est-ce que la démarche qualité en entreprise ? Quelles sont les réalités au Burkina ? A l’occasion des Journées Nationales de la Qualité tenues le 26 juillet Ecodufaso s’est entretenu avec le Directeur général de Cité Com, Abdoul Azize Bamogo par ailleurs président de Publicitaires et Associés sur cette notion et ses exigences. Lisez!

 

Ecdoufaso.com : Dites-nous d’avantages sur cette notion de qualité.

M. Abdoul Azize Bamogo : La qualité doit être la base du succès d’une entreprise. Toute structure doit se satisfaire de ses services s’il y a la qualité. La qualité c’est le fait que toutes les parties prenantes d’une initiative soient satisfaites par la façon dont les choses sont faites et par le résultat obtenu à la fin du processus. Par exemple, si dans une entreprise les actionnaires, les travailleurs, les clients, les fournisseurs sont satisfaits par le fonctionnement de l’entreprise et par ses résultats alors là on estime qu’il y a de la qualité. C’est pourquoi c’est quelque chose d’indispensable dans un pays. Car la panoplie de ces acteurs forme la société globale. Si nos entreprises fonctionnent avec la préoccupation de qualité cela veut dire que toute la chaîne des collaborateurs bénéficie de ce que l’entreprise fait au quotidien.

 

Quelle lecture faites-vous de la prise en compte de la notion de « qualité » dans les entreprises au Burkina ?

On est à un niveau peut être encore balbutiant de l’intégration de la notion de qualité dans nos entreprises au Burkina Faso. C’est un sujet qui est très important pour les entreprises elles-mêmes mais pour le développement socio-économique de notre pays également. Ce serait tant mieux que cette préoccupation progresse et que la recherche de la qualité devienne un élément indispensable dans chaque entreprise.

Le fait que l’entreprenariat au Burkina Faso soit beaucoup plus caractérisé par le secteur tertiaire mais aussi par beaucoup de gens qui se débrouille en réalité peut être une préoccupation car il n’y a pas vraiment de professionnalisme en ce qui concerne l’aspect qualité. Beaucoup d’entreprises fonctionnent comme des commerçants c’est-à-dire que la préoccupation c’est de faire beaucoup de bénéfices ici et maintenant. Cela pose problème. Même si le client ou le fournisseur ne sont pas satisfaits on ne s’en préoccupe pas à la limite ? Cela n’est pas bon.

Qu’apporte-t-elle plus concrètement aux entreprises ?

La qualité garantie la survie de l’entreprise. Elle est le fait que l’entreprise travaille à garantir son présent et son future. Il s’agit de faire en sortes que l’entreprise arrive à s’en sortir dans son environnement actuel, mais qu’elle arrive aussi de par sa pratique à pérenniser son activité. Si l’on a une telle dynamique l’on arrive à avoir des entreprises qui sont les plus durables possibles. Dans certains pays comme le Japon ou la Chine il y a des sociétés qui ont des siècles d’existence. Il y a des raisons pour lesquelles elles arrivent à se pérenniser. Comme il y a aussi des grandes entreprises qui sont nées et disparaissent du jour au lendemain par ce qu’elles n’ont pas réussis à pérenniser leurs actions.

 

Publicitaires et Associés dont vous assurez la présidence est une structure qui réunit des agences de communication et qui a décidé d’élaborer sa charte qualité. Qu’en est-il de cette Charte qualité en cours d’élaboration ?

La Charte qualité de Publicitaires s’inscrit dans la dynamique de former des entreprises de qualité qui se distinguent par leur sérieux et la qualité de leurs relations avec leurs collaborateurs ainsi que des produits et services. Cette charte qualité va engager les agences membres de Publicitaires et Associées.   Ce sera des engagements vis-à-vis de leurs clients, leurs fournisseurs, leurs travailleurs et des autorités publiques. Ces engagements nous permettront de mettre nos partenaires en confiance et de garantir un travail de qualité. Nous sommes des communicateurs et certaines entreprises mettent des sommes importantes pour leur communication. Si cette communication n’est pas de qualité elle ne va pas aider les entreprises à être plus compétitives. L’on peut avoir des entreprises qui ont de bons services mais compte tenu que la communication manque d’efficacité, elles seront devancer par d’autres entreprise sur le terrain par ce qu’il a manqué du bon travail sur le plan communication. Nous pensons qu’en tant que communicateurs, nous avons une grande responsabilité dans cet aspect de développement économique de notre pays. C’est au regard de cette responsabilité que nous avons décidé de travailler pour que la communication soit basée sur un engagement de publicitaires à produire un travail qui aide l’entreprise à atteindre l’objectif qu’elle se vise. Il ne s’agit pas en ce moment de faire de la publicité pour agrémenter l’actualité mais une véritable action de communication qui aide l’entreprise à atteindre véritablement ses objectifs. L’autre engagement c’est de faire en sorte que la communication puisse apporte une plus-value réelle aux organisations qu’elles soient privées ou publiques.

Plus concrètement ?

Nous avons déjà tenu 2 ateliers qui nous ont permis de prendre un certains nombres d’engagements. Il nous reste un dernier atelier que nous allons tenir bientôt. A l’issue de cet atelier nous aurons l’ensemble des engagements de publicitaires que nous allons consignés dans la charte. Ils vont constituer un engagement de nos membres vis-à-vis de nos collaborateurs pour faire un travail respectant des normes qualités. Cela signifiera que nos membres se distingueront des autres non membres par ces engagements pris. Nous nous réjouissons d’ores et déjà par ce que nous avons reçu des encouragements du ministre de la communication et de la présidente du conseil supérieur de la communication et du ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat et tout dernièrement ceux du premier ministre. Cela nous rassure que nous sommes sur le bon chemin. Nous avons reçu aussi les félicitations de l’ABMAQ. D’ici la fin de l’année nous pensons boucler la charte et la publier officiellement.

Le 26 juillet se sont tenues les Journées Nationales de la Qualité ? Publicitaires et Associés a occupé un stand d’exposition. Quelles étaient vos attentes en tant que participant?

C’est une très bonne initiative qu’il faut pérenniser. Je ne suis pas à ma première participation. Cependant mes attentes de ces journées c’était vraiment qu’elles permettent des échanges fructueux qui vont nous aider à avancer sur plusieurs domaines. Aussi qu’ils permettent à plusieurs secteurs d’activités à avoir des repères qui nous permettent d’introduire la qualité dans nos entreprises. J’étais beaucoup satisfait de ma participation à la table ronde sur le thème de la démarche qualité dans l’éducation. En tant que fondateur de « Africa Executive School » j’étais très satisfait de ce partage d’expérience mutuel. Cela nous a aussi permis de proposer un certains nombres de pistes sur lesquels nous pouvons positionner nos établissements pour qu’ils aient beaucoup plus de qualité dans les services. A ce niveau, il a été question de faire en sorte que l’accompagnement des apprenants des élèves et étudiants soit un outil qui les aide à s’insérer professionnellement. Publicitaires et Associés disposait aussi d’un stand d’animation lors des JNQ. L’idée c’est de présenter aux visiteurs la structure et particulièrement la démarche qualité afin que ceux qui sont intéressés puissent adhérer.

Le Premier Ministre lors de la visite des stands s’est longuement entretenu avec vous. De quoi avez-vous parlez ?

Oui ! Effectivement ! On a longuement discuté. Il a posé beaucoup de questions sur le secteur de la communication et principalement sur notre charte qualité. L’une de ses questions c’était concernant l’apport de la communication dans le développement économique du Burkina Faso. Nous avons expliqué l’importance de la communication dans le développement socio-économique du pays. Si on prend l’exemple du fait que le gouvernement dans sa démarche devrait être suivi et compris par la population. Il faut en ce moment une bonne communication. Sinon vous pouvez avoir une bonne politique mais avoir du mal dans la réalisation concrète. La communication permet au gouvernement d’avoir un fead back des administrés pour savoir et mieux ajuster les politiques.   C’est aussi valable pour le public que le privé. Ces échanges avec le Premier ministre nous ont fait beaucoup plaisir.

En tant qu’entrepreneur quel appel avez-vous à lancer aux chefs d’entreprises ?

Premièrement c’est de dire que les autres corps de métiers peuvent aussi s’engager dans cette démarche qualité. Cela peut être intéressant. Il arrive que certains ne soit même pas au courant de cette démarche qualité ou ne savent pas ce que c’est. Si les structures faîtières de ces secteurs s’impliquent d’avantages alors cela peut intéresser les membres. L’appel aux autres entrepreneurs c’est de dire que c’est la qualité qui paie. Le manque de qualité peut provoquer beaucoup de charges avec des bénéfices en moins. Mais dans l’immédiat cela ne se ressent pas. Mais quand vous êtes capable de faire des études stratégiques sur la rentabilité, la productivité et les coûts générés et cachés que vous rendriez compte de ce qu’entraine le manque de qualité. Les entreprises doivent être dans la dynamique de la démarche qualité sur tous les volets du management en passant par les opérations et autres. A ce point j’invite les écoles à être plus attentives aux entreprises afin de proposer de curricula qui répondent aux besoins.

Il faudrait qu’on arrive à mieux structurer les entreprises et à créer un cadre qui va permettre aux responsables d’entreprises d’avantages se former et d’être plus ambitieuses pour pouvoir être plus compétitif sur le marché. C’est quelque chose à construire car la qualité c’est un processus qui permet d’intégrer des façons de faire qui permettent à l’entreprise de s’améliorer au fur et à mesure dans son processus et la conquête du marché. Dans ce qui est du domaine de la certification et de la normalisation il y a de plus en plus d’entreprise qui sont dans cette démarche.

 

Entretien réalisé par Balguissa Sawadogo

ecodufaso.com / ecodafrik.com

Le pétrole abandonne son plus haut de 2 mois ce mardi

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Les prix du pétrole reculent pour la deuxième journée ce mardi, s’éloignant de leur plus haut de deux mois alors que les inquiétudes progressent à l’idée que la réunion des grands producteurs ne donne lieu à aucune mesure pour réduire l’excédent d’offre mondiale.
Le brut pour livraison en octobre sur le Nymex recule de 41 cents, ou 0.86%, à $47.00 le baril, après avoir chuté à $1.70, ou 3.46%, lundi. L’indice américain est monté à $49.36 vendredi passé, plus haut depuis le 5 juillet.
A Londres, le Brent pour livraison en octobre régresse de 31 cents, ou 0.63%, à $48.86 le baril après être descendu de $1.72, ou 3.38%, lors de la dernière séance.
Les futures sur le Brent échangé à Londres ont atteint leur plus haut de deux mois à $51.22 la semaine dernière. Beaucoup se demandent si les grands producteurs de pétrole, menés par l’Atabie saoudite et la Russie, étudient l’idée d’un gel collectif de la production pour doper le marché.
Lors des deux dernières semaines, les pric du brut ont pris près de $10 le baril, ou environ 25 %, alors que les espoirs d’une gel de la production par les grands producteurs lors d’une réunion informaelle de l’OPEP en Algérie le mois prochain suscitent une forte hausse.
Or, les analystes ont indiqué que les chances que les producteurs, en particulier les mmebres de l’OPEP, parviennent à un accord sont limitées.


Une tentative de gel de la production a déjà échoué cette année après que l’Arabie saoudite a fait machine arrière suite au refus de l’Iran de prendre par au projet, soulignant les difficultés pour kes rivaux politiques à parvenir à un consensus.
Les indications d’une reprise de l’activité de forage aux Etats-Unis ainsi que les stocks élevés de carburant dans le monde entier pèsent également.
Selon Baker Hughes, le nombre de foreuses en activité aux Etats-Unis la semaine dernière à augmenté de 10 à 406, soit la huitième hausse consécutive hebdomadaire et la onzième hausse en douze semaines.
Certains analystes ont indiqué que l’actuelle hausse des prix pourrait être trompeuse, étant donné qu’elle encourage le renforcement de l’activité des producteurs américains de schiste, soulignant les inquiétudes d’un excédent d’offre mondial.

 

ECODAFRIK.COM


Coris Bank International- Burkina Faso : Remise de 1000 chasubles de sécurité au profit des VADS

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La Banque Citoyenne Coris Bank International (CBI) a effectué  le mardi 23 août 2016, une donation de 1000 chasubles de sécurité d’une valeur de deux (2) millions de F CFA à la Police Nationale,  au profit des Volontaires Adjoints de sécurité (VADS).

« L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique » et vous faites de la sécurité routière votre préoccupation de tous les jours. Ces propos du Directeur général de Coris Holding, Emmanuel Sawadogo ont planté le décor de la cérémonie officielle de remise de chasubles de sécurité  au profit des VADS. Constitué de 1000 chasubles de sécurité, ce don deuxième du genre après celui 2015, rentre dans le cadre de la consolidation de l’action citoyenne de la banque.

Depuis quelques années, la sécurité routière a mal. Faut-il le rappeler, cette situation  provoque de nombreux accidents, entrainant désolation et pertes énormes. Les dernières en date, à Ouagadougou il n’est pas rare de voir des agressions physiques et verbales à l’endroit des policiers et  des VADS. C’est pourquoi le Directeur général Adjoint de la Police, Ousmane Sawadogo s’est réjoui du geste de Coris Bank International qu’il a jugé patriotique. Les chasubles de sécurité permettent une visibilité des VADS qui les portent et assurent un tant soit peu leur propre sécurité. L’apport des VADS en matière de prévention, de sensibilisation  et de lutte contre l’incivisme est inestimable a-t-il expliqué. C’est donc très ému qu’il a remercié Coris Bank International et invité par la même occasion les autres entreprises à emboiter le pas à la CBI.

coris-bank     Le-DGA-de-la-Police-Nationale-Ousmane-Sawadogo

  « A travers ce geste, la Banque autrement, votre banque à tous, renouvelle à l’endroit de la Police Nationale en général et des Volontaires adjoints de sécurité  en particulier, toute sa gratitude et ses remerciements pour les exploits réalisés quotidiennement sur nos routes, afin de prévenir des accidents, sauver des vies humaines et éviter des dégâts matériels collatéraux »  s’est exprimé M. Emmanuel Sawadogo au cours de la cérémonie. Le DG Coris Holding a aussi saisi l’occasion pour témoigner sa solidarité  et à travers lui la CBI, envers la Police Nationale.

 

Les attentes de la Police et des VADS en matière d’équipements  sont nombreuses  a expliqué le DGA de la Police Nationale. Le  Dg de Coris Holding a quant à lui garantie la disponibilité de la banque a toujours accompagner les initiatives de prévention des accidents et de renforcement de la sécurité routière.

A ce jour, la Police Nationale dispose de 1100 Volontaires adjoints de sécurité dans la ville de  Ouagadougou et 3000 au total sur le territoire national.

 

Balguissa Sawadogo
ecodufaso.com / ecodafrik.com

Abidjan accueille la 2ème édition du Forum africain de la finance islamique en octobre

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La capitale économique ivoirienne accueillera les 17 et 18 octobre prochains la deuxième édition du Forum de la finance islamique en Afrique, un an après le succès de la première édition qui avait rassemblé plus de 600 délégués.

Initiée par la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID, ICD) et organisée par la Islamic Finance News (IFN), la rencontre bénéficie du soutien du gouvernement ivoirien de l’ICD et la BID (la Banque islamique de développement).

Le forum permettra d’aborder notamment les opportunités du marché de la finance islamique, ainsi que les perspectives offertes par la filière pour les économies africaines. Cela dans un contexte où les Etats marquent un intérêt certain pour le secteur : la Côte d’Ivoire et le Togo ont récemment lancé des opérations en vue mobiliser chacun 150 milliards FCFA d’obligations islamiques.

Outre le chef de l’Etats ivoirien Alassane Ouattara qui présidera la cérémonie d’ouverture, plusieurs personnalités vont intervenir au cours de ces deux jours de rencontre dont notamment des membres gouvernement ivoirien, Khaled Al Aboodi, le directeur général de l’ICD, Makhtar Diop, vice-président pour l’Afrique de la Banque mondiale ou encore Fabrice Toka, directeur sénior à Fitch Ratings.

ECODAFRIK.COM

Samsung va se lancer dans les smartphones reconditionnés

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D’après l’agence Reuters, Samsung s’apprête à lancer des téléphones reconditionnés à des tarifs plus abordables en profitant de son Upgrade Program.
Alors qu’Apple propose déjà depuis plusieurs années d’acheter des produits en version reconditionnée pour un tarif moins élevée, la firme de Cupertino était plus ou moins la seule sur ce marché, en dehors des opérateurs ou des entreprises spécialisées.
Toutefois, la firme sud-coréenne pourrait également s’attaquer à son tour à ce marché en lançant prochainement son propre programme de revente de smartphones.
Samsung miserait, ainsi, sur son Upgrade Program présenté en mai dernier qui permet, pour une trentaine d’euros par an, de bénéficier des derniers modèles hauts de gamme de la marque et d’en changer tous les ans. Dès lors, les stocks de Samsung risquent de s’accumuler. Ce sont donc les produits rendus qui seraient remis à neuf par Samsung pour être ensuite vendus reconditionnés à prix plus bas. L’opération serait tout bénéfique pour le géant sud-coréen d’un point de vue économique.
L’annonce des Samsung reconditionnés pourrait sans doute arriver au Mobile World Congress, où la marque présentera le Samsung Galaxy S8 qui disposerait d’une autonomie doublée grâce aux nouvelles batteries.

ECODAFIK.COM

La BRVM a clôturé sa séance du mardi 23 août 2016 en hausse

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La BRVM a clôturé sa séance du mardi 23 août 2016
en hausse par rapport à la séance précédente.
L’indice BRVM 10 est passé de 244,62 à 245,75 points, soit une progression de 0,46%. L’indice BRVM
Composite, pour sa part, a gagné 0,07% à 284,23
points contre 284,03 points précédemment.
1.
La valeur des transactions s’est établie à 903,11
millions de FCFA contre 460,69 millions de FCFA le
lundi dernier.
2.
La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 7 093,64 milliards de FCFA. Celle du
marché obligataire s’élève à 1 628,45 milliards de FCFA.
3.
Le titre le plus actif en volume est Ecobank Tran
snational Incorporate
d TG avec 9 044 788 actions
échangées. Le titre le plus actif en valeur est PALM CI avec 297,75 millions de FCFA de
transactions

Mosquée de Dioulassoba : 500 millions pour sa réfection

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La mosquée de Dioulassoba est dans un état de délabrement. Le ministère de la culture veut réhabiliter cette infrastructure qui fait la fierté de la capitale économique et du Burkina Faso tout entier. Pour cela, 500 millions de FCFA sont nécessaires. 150 millions ont déjà pu être mobilisés selon le ministère. Un appel à souscription est lancé auprès des ressortissants de la région pour combler le gap et permettre à cette bâtisse du 19è siècle de faire peau neuve.

La Grande Mosquée de Bobo Dioulasso est une richesse touristique et architecturale. Elle est présentée comme étant le plus ancien monument du Burkina Faso actuellement en fonction. Le bâtiment est construit en latérite et en argile suivant une architecture de type soudanais. Sa construction aurait duré 10 ans (1870-1880). Les efforts d’entretien lui ont permis de traverser les âges et de résister aux intempéries. En effet, en dépit d’une apparence simpliste, l’édifice est solidement bâti, il est soutenu à l’intérieur, par 42 piliers répartis sur 9 rangées. Des espaces spécifiques y sont dédiées aux femmes. De loin, la mosquée, pouvant accueillir plus de 800 personnes, est visible par ses hauts minarets, trois au total dont un principal et deux  secondaires et qui servent de lieux de retraites pour les imams qui viennent y passer des journées entières pour se consacrer à l’adoration de Dieu et préparer les messages à communiquer aux fidèles durant les prêches et les prières. La mosquée de Dioulassoba accueille des milliers de visiteurs nationaux et des touristes étrangers par an, ce qui engendre des recettes financières. Ces recettes participent à l’entretien et à la réfection de la mosquée dans une ville où près de 80% de la population est de confession musulmane. Le projet de réhabilitation a donc non seulement des enjeux spirituels mais aussi économiques.

 

 

Aimé Florentin BATIONO
ecodufaso.com / ecodafrik.com

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